La critique est aisée mais l’art est difficile

Il y a trois ans la majorité des électeurs viroflaysiens a fait le choix du programme présenté par notre équipe UPV. Celui-ci constitue le cadre de notre action et de nos projets. Chaque habitant peut, sur cette page de notre site internet, constater l’avancement des réalisations engagées.

Lors de débats au cours du conseil municipal ou dans les communications publiques de certains élus minoritaires, se glissent régulièrement des affirmations péremptoires et discutables. On nous reproche, par exemple, de ne pas avoir de « vision » concernant l’avenir de Viroflay alors même que notre programme, plébiscité il y a trois ans expose une vision globale et réaliste pour notre ville et son avenir.

Bien sûr il est tout à fait légitime que les élus d’opposition aient une vision différente et que leurs interventions expriment un désaccord partiel ou total concernant telle ou telle action ou projet proposé par notre groupe majoritaire. C’est l’essence même de la démocratie à laquelle nous sommes tous très attachés !

Il est donc normal qu’il y ait des positionnements différents, voire des critiques. Les instances réglementaires créées par le législateur sont le lieu concret de l’expression de cette diversité : commissions qui précèdent le conseil municipal dont le but est d’expliquer les délibérations et de répondre aux questions, séances du conseil municipal au cours desquelles la parole est accordée à tout élu qui la sollicite avec un débat ouvert avant chaque vote.

Mais dans cette période particulièrement ardue et incertaine, notamment sur le plan budgétaire, nous sommes sidérés de voir des élus d’opposition adopter des postures et se contenter de critiquer sans parfois émettre la moindre proposition. Comme le dit l’adage : la critique est aisée, mais l’art est difficile !

Dans le contexte difficile que nous connaissons, nous exhortons chacun à faire preuve d’ouverture, sans fuir le débat ; en clair : assumer ses responsabilités.  C’est ce que les élus de la majorité font chaque jour dans l’espoir, peut-être naïf, de retrouver une atmosphère de travail apaisée, sans dogmatisme, ni mauvaise foi, dans l’intérêt de tous les viroflaysiens.

Alors, pour cette seconde moitié du mandat nous exprimons le souhait de mieux partager nos idées et d’élaborer ensemble l’avenir de Viroflay… il n’est pas interdit de rêver !

Les 26 élus de l’Union Pour Viroflay